Kevin Bacon raconte comment le public peut s'identifier à son chasseur de démons amateur de country dans The Bondsman

14 avril 2025 | Par Cady Lang, rédactrice éditoriale

Bondsman

Au long de sa carrière prolifique s'étendant sur cinq décennies, Kevin Bacon, lauréat du Golden Globe, a endossé tous les rôles : adolescent charmeur, héros charismatique et grand méchant. Il n'avait cependant jamais joué un rôle comparable à celui du héros de la nouvelle série The Bondsman sur Prime Video, un chasseur de primes revenu d'entre les morts pour tuer des démons.

Kevin Bacon, star de The Bondsman, souligne l'importance qu'il accorde au contenu premium.

Dans la série, disponible dès maintenant en streaming, Kevin Bacon joue le rôle de Hub Halloran, un chanteur de country devenu chasseur de primes, qui a vu sa vie personnelle se déliter suite à son divorce tumultueux avec son ex-femme Maryanne (Jennifer Nettles) et à la prise de distance de leur fils, Cade (Maxwell Jenkins). Les choses prennent un nouveau tournant lorsque Hub est assassiné, puis personnellement ressuscité par le Diable en vue de capturer les démons qui se sont échappés de l'enfer. Malgré ce nouveau job pour le moins gore, Hub se voit offrir une seconde chance, qui l'incite à renouer avec sa famille et avec ses ambitions musicales. Pour Kevin Bacon, cette aspiration à réparer ses erreurs et à reconstruire sa vie sur de meilleures bases est l'un des aspects les plus touchants de la série.

« C'est un personnage fascinant, car il a vraiment la peau dure », muse Kevin Bacon. « C'est un dur à cuire qui chasse les démons, mais aussi une sorte d'homme enfant qui n'a pas fini de grandir, même à son âge. Plein de noirceur et de regrets, en prise à ses propres démons, ce n'est pas un hasard s'il se retrouve confronté à la fois à des démons internes et externes. »

Bien que la saison s'ouvre sur l'assassinat de Hub et s'articule principalement autour de sa vocation sinistre de chasseurs de démons, il n'est pas facile de ranger tout simplement la série dans la case horreur. En effet, les genres et les styles s'y trouvent adroitement mêlés, le frisson du surnaturel côtoyant un humour débridé, un drame familial et une bonne dose de musique. Il s'avère que les audiences sont particulièrement friandes des séries comme celle-ci, qui brouillent artistement les genres et les intrigues. Selon l'étude From Ads to Zeitgeist menée par HAQM Ads en 2024, 62 % des consommateurs attendent la création de plus de contenu original.

Kevin Bacon, qui avait déjà collaboré avec HAQM MGM Studios en 2016, à l'occasion de la série I Love Dick diffusée sur Prime Video, estime lui aussi que l'attrait de la série repose sur le mélange des genres.

« J'adore toucher à différents genres en bousculant les codes, parce qu'au-delà de l'horreur et du gore, cette série est également pleine d'humour », se réjouit Kevin Bacon. Son ton résolument ironique. Je pense que cet humour au second degré fonctionne parce que les personnages se trouvent dans une situation extraordinaire qu'ils abordent de manière tout à fait ordinaire et familiale, surtout du point de vue de la mère, de l'ex-femme et du fils du héros. »

Kevin Bacon a également sauté sur l'opportunité offerte par l'aspect musical de la série. Bien qu'il fasse partie du groupe de musique folk The Bacon Brothers depuis 30 ans, aux côtés de son frère Michael, il avait jusqu'alors séparé ses carrières d'acteur et de musicien. Pour incarner le passé de chanteur de country de Hub dans The Bondsman, Kevin Bacon a dû puiser dans ses compétences musicales, écrivant des chansons originales sous la plume de son personnage dans la série, aux côtés de Jennifer Nettles (également chanteuse principale du duo country Sugarland). Les chansons que Kevin Bacon et Jennifer Nettles interprète dans la série sont disponibles dans l'album de la bande originale, sous le titre The Bondsman : L'enfer et le retour.

« C'était vraiment génial de pouvoir faire de la musique et écrire des chansons pour la série avec Jennifer Nettles », jubile Kevin Bacon. « C'était hyper enrichissant pour moi, et j'ai absolument adoré cette opportunité. »

The Bondsman n'est que l'une des nombreuses séries et films aussi audacieux que captivants que les audiences adorent regarder sur Prime Video. La troisième saison de Reacher est sortie au mois de février, attirant 54,6 millions de téléspectateurs nets au cours des 19 jours suivant sa sortie et s'imposant comme la nouvelle saison n'a plus regardée dans toute l'histoire de Prime Video. Au cours de l'année écoulée, HAQM MGM Studios a également reçu de nombreuses récompenses et nominations aux Oscars, aux Golden Globes et aux Emmys, dont non moins de sept Primetime Emmys en 2024 pour des séries telles que Mrs. & Mrs. Smith et Fallout.

2025 nous réserve encore bien du contenu à regarder en streaming, avec une superbe programmation de sorties séries et cinéma à venir sur Prime Video, dont le thriller Holland avec Nicole Kidman et la série originale Étoile. HAQM Ads aide les annonceurs à atteindre des millions de spectateurs dans le monde entier grâce aux publicités Streaming TV ads diffusées au sein du contenu Prime Video. HAQM Ads propose de puissantes solutions d'ad tech, fondées sur des milliards de signaux first-party de streaming, d'achat et de navigation, qui permettent aux marques de booster leurs résultats tout au long des étapes de planification et d'activation de leurs campagnes de streaming. Ainsi, les marques peuvent entrer en contact avec les audiences par le biais du contenu qu'elles apprécient, comme The Bondsman, qui leur offre bien plus qu'une dose de sensations fortes.

The Bondsman vient occuper une place de choix dans la longue carrière de Kevin Bacon. Incarner le rôle de Hub présentait entre autres le défi de la rencontre entre ses carrières d'acteur et de musicien, défi qu'il a relevé avec l'enthousiasme qu'il a toujours affiché dans son travail.

« J'envisage chaque rôle comme un défi et je suis toujours en quête de défis, qu'ils soient émotionnels, physiques ou liés aux personnages », révèle Kevin Bacon. « J'ai toujours considéré le jeu d'acteur et la réalisation comme un savoir-faire. Derrière la dimension créative et des enjeux de carrière, il s'agit avant tout d'un savoir-faire que je ne maîtrisais pas à mes débuts. J'ai travaillé très dur pour tenter de m'améliorer. Comme pour tout savoir-faire, il faut y consacrer au moins 10 000 heures. Je suis profondément reconnaissant d'avoir encore l'opportunité de m'y essayer à mon âge. »